Une Maison D’Hôtes Bien Garnie. Première Partie.

Vol Orly Pointe-à-Pitre minuit !

La cabine de l’A340 a été plongée dans l’obscurité… Les écrans de télévision créent une ambiance particulière, les personnels de cabine se reposent…
Je viens de regarder un film et ressens le besoin de me dégourdir les jambes… Je vais réclamer à l’hôtesse un verre d’eau… C’est une jolie brune assez métissée que l’uniforme rend encore plus attirante… Elle est toute seule… ses collègues se reposent !
• Merci pour l’eau… Est-ce je peux avoir un glaçon !
• Deux ! Si vous voulez… je suis d’humeur généreuse ce soir !
• Il y a une raison particulière à cette générosité ?
• Oui ! je suis en vacances après ce dernier vol
• Je vous souhaite de bonnes vacances alors… Vous serez en famille ?
• Non ! je m’isole un peu !
• Il y a une raison à cet isolement ?
• Vous cherchez une raison à tout !
• Mais non c’était pour faire la conversation… Mais je dérange peut-être ?
• Mais non vous ne dérangez pas ! Bien au contraire ! Vous avez bien vu que je m’enm… à cent sous l’heure…
• Non je n’avais pas remarqué !
• Et vous ! Vous partez en vacances aussi !
• Oui… quelques jours du côté de Gosier
• En célibataire je vois !
• Vous voyez bien… je m’isole un peu… Il y a une raison à cela ?
• Très drôle… Très drôle…
• Ne vous fâchez pas… je n’insiste pas…
• Après votre timbale d’eau… Vous ne seriez pas tentée par un petit planteur…
• Pourquoi pas… Je n’ai jamais goûté le planteur d’Air Caraïbes ?
• Voilà une autre timbale… je cherche la bouteille…
Je suis tout heureux de cette petite conversation avec une hôtesse que je trouve bien agréable… (on ne se refait pas…)
Elle se penche pour récupérer la précieuse boisson et je découvre et déguste de splendides fesses bien prises dans la jupe étroite de l’uniforme…
• Je vous sers… Vous me direz stop…
• Allez-y ! Mais pas plus haut que le bord…
• A quoi voulez-vous trinquer ?
• Aux vacances ! Pourquoi pas !
• Et à la solitude…
• Je m’appelle Gérard !
• Alors ! Tchin Tchin ! Gérard ! Moi c’est Isabelle…
• Tchin Tchin Isabelle ! A la solitude… La vôtre et la mienne !
Un instant se passe :
• Alors comment le trouvez-vous ?
• Je vous trouve très belle !
• Merci pour le compliment… Mais je vous parlais du planteur…
• Oh ! Avec le bruit des réacteurs, j’ai mal entendu…
• Mauvais prétexte… Mais attendez ! Il y a un passager qui appelle ! Je dois y aller ! Je reviens ! Ne bougez pas…
Je déguste mon planteur et ressens l’envie de passer aux toilettes… Je pousse la porte pliante, referme derrière moi… Je verrouille et me retrouve face à moi-même dans le miroir…
Je m’interroge sur la suite à donner à cette approche, pour ne pas dire accroche…
Machinalement, mécaniquement… j’ouvre la braguette de mon pantalon, dégage ma verge, j’urine un bon coup… secoue l’engin, essuie le bout du gland avec une serviette en papier… Je remballe la marchandise et en profite pour le placer judicieusement de telle sorte que si une érection se présente, je ne serai pas gêné… Les mains lavés et essuyées, je ressors.


• Ah ! Vous êtes là, Gérard ! je pensais que vous aviez regagné votre siège…
• Je ne serais pas parti sans vous dire au revoir…
• Je pense bien ! Encore un petit planteur ?
• Vous voulez me saouler !
• Le planteur ne saoule pas…
• Tu parles Isabelle… C’est du Rhum quand même…
• Oui mais il y a du sucre et des fruits… Alors…
• Tchin Tchin Isabelle ! A notre rencontre !
• Tchin Tchin Gérard ! J’ai bien aimé votre conversation !
La voix du commandant annonce des perturbations et demande de regagner les sièges et d’attacher les ceintures. Je regagne ma place pendant qu’Isabelle reprend son service…
Un peu plus tard, le calme est revenu… Je suis entrain de chercher un autre film lorsqu’une main se pose sur mon épaule… Une bouche s’approche de mon oreille… des mèches de cheveux me chatouillent la joue… Je sens le parfum envoûtant d’Isabelle qui me susurre :
• Encore un petit planteur…
Je n’ai pas le temps de répondre car Isabelle a déjà pris le chemin de sa plateforme technique… Je ressens une vive réaction de ma verge… Je me lève et vais rejoindre ma conquête… car je ne doute plus avoir fait une touche…
Lorsque j’arrive, le planteur est servi… Je fais ajouter un glaçon…
• Tchin Tchin Isabelle ! A votre santé !
• Tchin Tchin Gérard ! A ta santé ! Tu peux me tutoyer !
• Tu penses que l’on pourrait se retrouver en Guadeloupe ?
• L’Île n’est pas si grande… c’est possible !
• Tu as un parfum délicieux !
• Et toi tu me plais, Gérard !
• Pas très pratique cet avion !
• Non… vraiment pas pratique !
• Je voudrais une petite autorisation ?
• Si ce n’est pas trop difficile…
• Je voudrais te toucher les seins !
• Ok Gérard… mais je tâte ton érection !
Mais le commandant annonce le début de la descente vers la Guadeloupe…
Isabelle reprend son boulot et je regagne mon siège.
A travers le hublot, je crois reconnaître la pointe des Châteaux puis les grands fonds de Sainte-Anne… Puis les nuages estompent… l’île Papillon apparaît…
Je n’en reviens pas de mon aventure et cherche le moyen de récupérer le téléphone d’Isabelle avant de quitter l’avion… Les PNC sont en ligne devant la porte de sortie et saluent un a un les passagers… Pas facile de s’arrêter et d’échanger avec Isabelle…
Alors en passant devant elle, je lui tends la main…
Isabelle la saisit et je me retrouve avec au creux de sa paume un petit bout de papier que je lirai un peu plus tard… : « Bienvenue en Guadeloupe… suivi d’un précieux numéro de portable en 06.
90. ! »

Un rapide passage au contrôle de police et je descends dans la salle de livraison des bagages et j’attends ma valise… J’aperçois l’équipage qui emprunte l’escalator à quelques dizaines de mètres…
Je suis du regard la jolie hôtesse qui passe sans me voir…
J’aperçois ma valise et me penche pour essayer de l’attr… Soudain je sens une main qui me caresse les fesses… Surpris je lâche ma valise qui repart pour un tour… je me retourne et tombe sur le ravissant sourire de mon hôtesse : Pas un mot… Elle s’en va.
Un peu plus tard je suis dans une petite Opel de location toute neuve et je m’apprête à filer vers Gosier… Une folle envie de téléphoner tout de suite… peut-être aura t’elle besoin d’un transport… Ça sonne et je tombe sur un répondeur : « Bonjour ! Je suis hors du département… Laissez-moi un message ! »

Un peu surpris je cherche dans ma mémoire toutes mes connaissances en langue créole et je me lance : « Ka ou fè ! Bel ti-moun ! En ja touché totot a vou ! ou ja touché cocq en moin… ou ja touché fesses en moin… moin envie toucher coucoune à vous… »

Très fier de moi, j’emprunte la route vers Gosier et tombe dans un bel embouteillage… Soudain le téléphone sonne ! Je n’imagine même pas qui cela peut être ! J’en suis sur !
• Allo !
• Monsieur ! Vous avez été d’une impolitesse rare… je suis choquée… très choquée… Cela ne se fait pas !
• Mais…
• Non taisez-vous ! Laissez-moi parler !... Vous vous croyez où pour agir de la sorte… Nous sommes en Guadeloupe ! Monsieur et les guadeloupéennes n’apprécient pas ce genre d’insulte…
• Mais…
• Taisez-vous… je suis vraiment fâchée et tellement déçue… Je pensais avoir à faire à un gentleman… Je vous ai vu la nuit dernière… Au lieu de dormir vous avez passé votre temps à vous masturber… Je suis passée 20 fois et 20 fois j’ai vu votre main bouger sous le plaid…
• Alors…
• Non Chut ! Zut alors… Alors vous m’avez émue et lorsque vous être venu demander de l’eau, je n’avais qu’une envie…
• Laquelle ?
• Chut ! Tonnerre ! Je voulais savoir si vous aviez joui et si donc votre pantalon était mouillé…
• Que ça !
• Non pas que ça ! Je vous ai trouvé élégant, et j’ai tout de suite pensé qu’une petite aventure avec vous serait marante…
• Alors ! Vous êtes fâchée parce que je vous ai parlé de votre coucoune ?
• Non pas pour cela Monsieur… je suis fâchée parce que vous vous êtes adressé à moi en créole… Cela ne se fait pas… Alors… au revoir.

Même pas le temps de répondre qu’elle a déjà raccroché… Je reprends ma route vers mon hôtel avec tous les regrets de la terre.

Quelques temps plus tard, j’entre dans une immense propriété dans laquelle je vais être hébergé.
La vue sur la mer dans le lointain est à couper le souffle et le soleil couchant fait rougeoyer la crête des vagues.
Comme l’indique un panonceau, je gare la voiture sur un des côtés de cette grande maison dont le toit constitue une avancée très large qui couvre également un grand balcon qui semble en faire le tour.
J’ai à peine eu le temps de couper le contact qu’une jeune antillaise vient m’accueillir en disant avec un accent charmant :
• Ka ou fè Gérard !
• A non… surtout pas le créole !
• Ah bon ! Vous avez fait bon voyage ? Qu’est-ce que vous avez après le créole… Vous qui vouliez apprendre à le parler…
• Non rien ! Tout va bien ! Oui j’ai fait bon voyage ! Ma chambre est prête !
• Oui ! Vous voulez dîner !
• Non ! pas ce soir… Un petit DIDIKO demain matin au PIPIRIT CHANTANT
• Mais vous n’avez pas perdu votre créole… Votre Guide sera là demain matin… Vous prendrez le DIDIKO avec elle.

Je récupère les clés de mon studio et m’y rend tout seul puisque j’en connais le chemin.
Mes affaires rangées dans le placard, je me déshabille et tout nu, je me glisse entre les draps… Malgré la Clim’, j’ai plaisir à cette nudité habituelle…
Je suis à peine endormi que mon portable sonne… S’affiche le numéro d’Isabelle…
• Allo ! Isabelle ! Vous ne dormez pas !
• Vous non plus Gérard !
• Vous m’avez réveillé !
• Vous voulez que je raccroche !
• Non pas du tout ! Toujours aussi fâchée !
• Je n’ai jamais été fâchée !
• Que puis-je faire pour vous !
• Je croyais que l’on se tutoyait !
• Oups ! Que puis-je faire pour toi…
• Je n’arrive pas à me faire jouir… Alors j’ai besoin de ton aide !
• Tu ne préfères pas me rejoindre ?
• Où es-tu Gérard
• Dans une Chambre d’hôte chez Madame Ernestine Viollet
• Quoi ! Tu es chez cette maquerelle !
• Tu te trompes Ernestine est très gentille… j’ai même été accueilli par une jeune fille charmante…
• Oui mais ton Guide est déjà là je suppose…
• Qui t’a parlé de Guide !
• C’est le terme pour ces petites prostituées que protège Dame Ernestine ! Alors elle est déjà avec toi !
• Non elle sera là demain matin.
Tu peux venir ce soir si tu veux…
• Pas envie de sortir ! Fais-moi jouir avec tes mots !
• Dis-moi où tu es ?
• Dans ma chambre… Toute seule et toute nue…
• Couchée sur le dos ?
• Oui !
• Jambes ouvertes ?
• Oui !
• Tu mouilles ?
• Oui… ma coucoune est trempée !
• C’est quoi une coucoune !
• Ma coucoune à moi c’est le paradis pour ton Cal.
• C’est quoi un cal !
• C’est ta verge, ta bite, ta queue ! Elle est comment ta bite ? Grosse ?
• Oui… très !
• Longue ?
• Oui… Normale…
• Dure ?
• Oui… très dure !
• Et ton gland est doux ?
• Oui très… Envie que tu me suces…
• Envie que tu me suces aussi ! Aimes-tu sucer une vulve trempée… Aimes-tu boire le jus d’une femme… Aimes-tu baiser ?
• Et toi ? Aimes-tu te faire baiser ?
• Oui !
• Dans l’anus aussi ?
• Là… ce n’est pas baiser… c’est enculer ?
• Aimes-tu te faire enculer ? Te faire tringler ?
• J’adore tout cela…
• Tu as un gode avec toi ?
• Un gode vibrant… oui !
• Il est gros ?
• Enorme !
• Enfile le alors… Et fait le vibrer…
• C’est fait…
• Enfonce le bien au fond… Ton clitoris bande ?
• Oui il est tout dur…
• Branle-le avec tes doigts…
• Oui ! C’est bon ! Dis-moi encore de faire d’autres choses !
• As-tu un dong ?
• Oui !
• Gros ?
• Assez !
• Alors enfile-le dans ton anus…
• … … … … (Un silence s’installe…)
• C’est fait ?
• Oui… j’étouffe !
• Serre bien les jambes… Branle toi… ferme les yeux… pense à moi… imagine que je vienne t’embrasser…
• Oh Oui ! Je jouis… Je jouis… C’est bon...
• … … … … (Nouveau silence…)
• Tu es là encore ?
• Oui ! Je me branle !
• Tu vas jouir ?
• Oui… c’est tout près !
• Raconte-moi !
• Je suis couché sur le dos tout nu… je tiens ma verge et me branle… Je vais jouir Isabelle… Je vais jouir pour toi… Compte avec moi les spasmes…
• Oui je t’écoute !
• Un… deux… Trois… Quatre….
• Ça coule ton sperme ?…
• Cinq… Six… Sept !
• Ton sperme est bon ?
• Et Huit… Tu aimes boire le sperme…
• Je jouis encore… Je jouis … C’est plus fort…
• Tu vas me boire…
• Oui je vais te boire… Merci pour ton aide… Bonne nuit…
• Bonne nuit Isabelle.




Comment en suis-je arrivé là ?
Cette année, j’ai profité de la belle saison pour louer une chambre d’hôtes à Gosier, non loin de Pointe à Pitre.
Au cours d’un vol très agréable j’ai fait connaissance avec une des hôtesses. Dès l’arrivée à l’aéroport des Abymes, j’ai pris possession d’une petite voiture que j’avais réservée et qui me permettrait de me déplacer facilement pendant les deux semaines de mon séjour.
Dès mon arrivée sur le parking, je suis accueilli par une jolie et jeune antillaise :
• Soyez le bienvenu dans la maison de Caty. Suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre.

Nous montons quelques marches pour accéder au patio puis, seul, je prends l’escalier qui mène aux chambres du premier étage… J’avais eu brièvement la jolie croupe de cette jeune fille qui se dandinait avec innocence sous mes yeux qui appréciaient le spectacle… au point que mon sexe s’est ému dans mon boxer… réveillant les souvenirs de ce qui s’était passé entre Isabelle et moi dans l’avion….
En moi-même, je pensai que décidément les antillaises ont de quoi satisfaire la main d’un honnête homme (pas si honnête que cela…) et je me rappelais que dans l’avion, j’avais échangé avec Isabelle une caresse sans équivoque…
C’est vrai que cette belle métisse antillaise à qui je donnais 30/35 ans au maximum, avait de quoi satisfaire le libertin que je suis…
Longue et souple comme une liane avec la courbe des hanches prise au plus près dans sa jupe d’uniforme, j’imaginais sa poitrine dont j’avais senti la fermeté… Des seins pas trop petits, bien formés sans doute avec une aréole très marquée et des tétons appelant les baisers… Son visage à l’ovale allongé est éclairé par un grand sourire fait de dents d’une blancheur éclatante, des lèvres carmin, des pommettes légèrement marquées et des grands yeux marron ombrés de cil longs, longs… et des cheveux lisses noués en queue de cheval…
Bref, une très jolie femme…
J’ai toujours aimé les femmes un peu matures… Les « fruits verts » comme la jeune fille qui m’avait accueilli sont certes tentants, agréables à regarder, mais je préfère ces femmes d’expérience, rompues aux joutes de l’amour et qui ne se refusent pas à la moindre allusion. La conversation pour le moins très érotique que je venais d’avoir avec Isabelle était là pour m’en persuader…

Après une nuit de sommeil et pas trop perturbé par le décalage horaire, je prends une douche bienfaisante avant d’aller déguster un somptueux pti’déj’… le DIDIKO, comme les antillais l’appellent ! Alors que je termine, une jouvencelle à qui je donne à peine 18 printemps arrive près de ma table et dit :
• Je suis Maeva… Votre guide pour vous servir ! Avez-vous envie d’un massage ?
• Oui… peut-être… c’est à voir… que proposez-vous ?
• Il y trois types de massages, simple, relaxant, et plus si l’envie te prend !
• OK. çà marche… Va pour un relaxant… je suis un peu noué avec le voyage en avion !
• Va enfiler ton maillot de bain et rendez-vous au bord de la piscine dans un quart d’heure !

J’avoue que je suis un peu surpris par le tutoiement de Maeva, mais cela ne me gênait pas outre mesure car je tutoie aussi très facilement…
Quand je débouche au bord de la piscine, je découvre du côté opposé des sortes de boxes séparés par des rideaux de toiles colorées et Maeva qui m’attend avec un grand sourire :
• Viens… Je vais m’occuper de toi !
Je contourne le bassin à l’eau turquoise en compagnie de Maeva et j’entre dans le box où se trouvent la table de massage, un matelas de plage et un petit meuble sur lequel sont posés divers flacons.
• Allonge-toi sur le ventre, je vais commencer par les épaules.
Je dois reconnaître que Maeva a des mains de fée, d’une douceur infinie mais aussi d’une fermeté sans pareil lorsqu’il s’agit de manipuler un muscle ou une articulation… Je me sens bien, si bien que je somnole à moitié et je suis surpris quand Maeva me demande de me retourner et me mettre sur le dos.
Elle est en transpiration, de légères gouttes de sueur perlent sur son front…
Elle abaisse la table de massage en actionnant le vérin hydraulique si bien que je suis désormais à environ 50cm du sol…
Elle prend successivement les orteils de mes pieds, elle les masse puis les étire… Ensuite elle me fait plier une jambe puis l’autre pour masser les mollets par le devant…
Je ne peux m’empêcher de relever la tête pour la regarder faire… et admirer sa plastique juvénile… Le soutien gorge fleuri semble contenir deux beaux fruits bien mûrs alors que la taille étroite est prise dans un pagne aux teintes assorties à celles du soutien gorge…
Soudain Maeva monte sur la table de massage et s’installe à genoux sur mes cuisses pour masser mon buste… Ses doigts fins remontent le long des côtes puis passent sur mon sternum et reviennent au niveau des côtes…
Bien évidemment ces attouchements au passage sur mes tétons ne me laissent pas sans réaction… Ils se dressent au milieu de l’aréole… mais la manifestation la plus probante se situe dans mon boxer ! Je BANDE comme un taureau !
• Oh… Quelle jolie bosse !
• Excuse-moi, ce que tu me fais est trop bon !
• Mais ce n’est rien… Je vais te soulager !
Et là, elle fait descendre mon boxer, découvre ma bite bandée à mort et en se contorsionnant elle l’avale au plus profond de sa bouche…
WOW… Quel massage ! Sa bouche est chaude et ses lèvres expertes… Sa bouche va et vient sur mon sexe, le gobant jusqu’au plus profond de sa gorge puis Maeva le ressort, lèche furtivement le gland en dardant la pointe sur le méat puis avale à nouveau… Je suis au nirvana !
En moi-même, je pense que Maeva a de la pratique et les mots d’Isabelle me reviennent en mémoire : Les filles qui peuplent cette maison d’hôtes seraient-elles des prostituées ou des filles faciles à corrompre ?
Je m’en moque ! Je savoure cette fellation… et je sens la sève monter !
Maeva a du s’en rendre compte car elle sort mon sexe de sa bouche, le prend dans sa main droite pour le masturber rapidement pendant que la gauche triture doucement mes bourses… si bien que je ne tarde pas à lancer quelques beaux jets de sperme qui retombent sur mon pubis.
• Merci Maeva… C’était délicieux !
• Entièrement à ton service ! Viens… nous allons à la douche, je te montre où elle est !
• Ok… je te suis !
En fait de douches, il s’agit d’une pièce assez grande avec des jets multiples que Maeva actionne selon son humeur… alternant le chaud et le froid si bien que je me sens bientôt tout ragaillardi, plein de tonus…
Pour finir, mon « guide » prend une immense serviette de bain chaude et m’enveloppe entièrement pour me sécher… et me remet un short de coton blanc en me disant :
• C’est assez pour ce matin… Je te retrouve à la sieste si tu es là !
• Non, je pars en excursion… J’ai réservé une place pour aller à la Désirade…
• Bon, alors ce sera pour une autre fois !
C’est ainsi que je regagne ma chambre… où je trouve un message d’Isabelle sur mon portable… Je la rappelle aussitôt et nous convenons de nous retrouver à la descente du bateau à mon retour de la Désirade.

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